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Musée Henri Dupuis

9, rue Henri Dupuis
62500
Saint-Omer
03 21 38 00 94
Arts décoratifs, Histoire, Sciences et techniques, Sciences naturelles
Musée fermé

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Accès

Saint-Omer
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Le musée est fermé.

Henri Dupuis (1819 – 1889) était un grand collectionneur Audomarois du XIXe siècle. Savant des choses de la Nature, curieux du monde, amateur d’art et fervent catholique, il s’employa, sa vie durant à accumuler toutes sortes de spécimens naturels issus des quatre coins du monde. 

Histoire du musée Henri Dupuis : Un musée de collectionneur

Célibataire et rentier, Henri Dupuis consacra toute sa fortune et une bonne partie de son temps, à la collecte, en mandatant des explorateurs pour lui ramener les objets désirés et en aménageant sa maison pour l’exposition de sa collection. A sa mort en 1889, il légua à la Ville sa demeure et l’ensemble de sa collection pour « être utile à tous, surtout à la jeunesse », avec le souhait que ses collections soient présentées au public, pour améliorer la connaissance des Audomarois sur le patrimoine flamand et sur les naturalia.

La naissance du « muséum d’histoire naturelle » de Saint-OmerLe musée demeura donc fidèle à la présentation conçue par Henri Dupuis lui-même, avec notamment les immenses vitrines remplies de coquillages ou de minéraux. Mais en 1950, une nouvelle répartition des collections des deux musées de la ville est décidée. Cette opération vise à affirmer l’identité de chaque musée : les collections de Beaux-arts et d’arts décoratifs sont regroupées au musée de l’hôtel Sandelin, tandis que le musée Henri Dupuis est entièrement consacré à l’histoire naturelle, avec l’exception notable de la cuisine flamande.  

Un musée plus didactique

Dans les années 1970, des dioramas sont aménagés au rez-de-chaussée pour présenter de manière plus réaliste et vivante les collections d’oiseaux naturalisés. Le bureau d’Henri Dupuis, la cuisine flamande et la salle des coquillages demeurent dans leur présentation originale. 

La collection de minéraux 

Restée telle qu’Henri Dupuis l’avait aménagée au XIXe siècle, la salle de minéralogie (consacrée à l’étude des minéraux) expose plusieurs centaines de minéraux répartis dans 17 vitrines qui tapissent les murs. De multiples sortes de quartz, de gypses, de pierres semi-précieuses, mais aussi de minéraux plus traditionnels, comme le fer contenu dans la pyrite, sont ici conservés. La présentation ancienne qui témoigne d’un goût des amateurs du XIXe siècle pour les curiosités et les beautés de la nature correspond moins aux présentations actuelles des musées de Science, mais elle permet d’embrasser d’un coup d’œil la variété des minéraux et leur beauté.

La collection d’animaux naturalisés 

La collection actuelle du musée Henri Dupuis est issue de la réunion entre les collections de cet illustre audomarois et de plusieurs donateurs qui ont légué leur collection d’histoire naturelle à la ville entre les années 1830 et les années 1990. Parmi ces bienfaiteurs, Charles Van Kempen, passionné d’ornithologie (l’étude des oiseaux), a accumulé durant toute sa vie des milliers de spécimens d’oiseaux naturalisés, issus de toutes les contrées du monde. Il a donné sa collection en 1921. La réunion du fonds Van Kempen, d’Henri Dupuis et d’autres naturalistes du Nord fait de la collection audomaroise l’une des plus intéressantes, notamment pour les espèces locales de volatiles.

La collection de coquillages

La salle de « conchyliologie » (c’est-à-dire la salle consacrée à l’étude des coquillages) est située au premier étage de la maison d’Henri Dupuis. Plus de 20 000 spécimens de coquillages marins y sont exposés, dans de grandes vitrines. Ces coquillages ont été achetés par Henri Dupuis à des voyageurs, parfois échangés avec d’autres collectionneurs. Gastéropodes, bivalves, céphalopodes, toutes les classes de mollusques sont présentées. La variété des formes, des couleurs, des tailles de coquillages qui tapissent ainsi littéralement les murs, rend compte de l’extraordinaire richesse de la faune marine.

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musees-accueil@ville-saint-omer.fr

Musée de l'hôtel Sandelin

14 rue Carnot
62500
Saint-Omer
03.21.38.00.94
Archéologie régionale, Arts décoratifs, Beaux-arts, Histoire, Sciences naturelles, Arts graphiques
Ouvert à tous (individuels et groupes) du mercredi au dimanche de 10h à 12h et de 14h à 18h.
Ouvert seulement aux groupes le lundi et le mardi (sur réservation)
Fermé les jours fériés
Tarif plein : 5,50€
Tarif réduit : 3,50€
Gratuité sur conditions
> Gratuit pour tous les dimanches !

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Saint-Omer
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Le musée Sandelin, une porte d’entrée sur l’histoire de l’Audomarois et un voyage vers l’ailleurs...

Le musée a réorienté depuis octobre 2022 son identité autour de ces trois grands axes : Art, Histoire et Nature, en lien avec la richesse et la diversité des collections des musées de Saint-Omer. Ces dernières sont liées à l’histoire locale, mais également à celle des arts ainsi qu’à l’histoire naturelle en France et dans le monde.

Le musée Sandelin vous offre désormais une porte d’entrée sur l’histoire de l’Audomarois et un voyage vers l’ailleurs à travers des pièces maîtresses : mosaïque romane, chefs-d'œuvre d’orfèvrerie, peintures de maîtres, cabinets et porcelaines asiatiques, etc.

Une offre complète vous est proposée : des parcours de visite principaux, des parcours thématiques, des expositions temporaires, une riche programmation, un jardin paysager en projet et une invitation à aller plus loin en arpentant des lieux emblématiques de l’Audomarois.

Les parcours de visite principaux sont au nombre de deux. Le premier se vit comme une plongée dans le passé de l’Audomarois à travers 1400 ans d’histoire et des œuvres remarquables, parfois les ultimes traces de patrimoines et de savoir-faire disparus. Le second, plus immersif, fait voyager vers l’ailleurs, entre art de vivre et collectionnisme. Il met à l’honneur la somptueuse demeure du 18e siècle dans laquelle se situe le musée. Afin de poser un nouveau regard sur les œuvres, des parcours thématiques transversaux invitent à visiter l’intégralité du musée à la découverte des chefs-d’œuvre (2022) ou encore de grands collectionneurs (2023).

Parmi les expositions temporaires, une sur trois est consacrée aux collections d’histoire naturelle du musée Henri Dupuis (autre musée de la ville, actuellement fermé). La riche programmation proposée toute l’année offre un large choix d’activités donnant une place centrale au bien-être, à la délectation, au ludique et à l’interactivité. L’expérience du visiteur ne s’arrête pas à la sortie, car la découverte du musée invite à parcourir le territoire à la rencontre des lieux emblématiques : le marais, la cathédrale Notre-Dame, La Coupole, etc.

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Musée de la Tour Abbatiale

Grand place
59230
Saint-Amand-les-Eaux
03 27 22 24 55
Arts décoratifs, Beaux-arts, Histoire
Lundi, mercredi, jeudi et vendredi de 14h à 17h.
Samedi, dimanche et jours fériés de 10h30 à 12h et de 14h à 18h.
Fermé le mardi, 1er janvier, 1er novembre et 25 décembre.

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Saint-Amand-les-Eaux
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La remarquable tour abbatiale de l’ancienne abbaye bénédictine de saint Amand récemment restaurée abrite le musée et fait de son architecture de la fin de la Renaissance flamande un élément d'exposition à part entière.
Le musée s’est constitué au début des années 1950 autour des céramiques amandinoises du XVIIIe siècle de la collection Bouchart, et des collections municipales dédiées à l’abbaye de Saint-Amand et à son histoire. Tout en se renforçant dans le vaste domaine des céramiques amandinoises, le musée s’est aussi enrichi dans celui de la céramique d’art contemporaine, et, toujours en relation avec l’histoire de l’abbaye, dans l’art des Pays-Bas du sud des XVIIe et XVIIIe siècle.
Une chronique de 1786 signée par un certain Daminet nous conte l’histoire suivante à propos de l’abbaye :

Elle fut fondée au commencement du 7e siècle par le roi de France Dagobert 1er.

Tout le monde connaît la beauté de son église, la magnificence de ses bâtiments , mais peu de personnes visitent les voûtes qui soutiennent le chœur et que l’on appelle l’église basse.Tout l’édifice étant bâtit sur pilotis, cette église basse est nécessairement très malsaine. L’eau jaillit quelquefois à travers les joints des pierres bleues qui en forment le pavé. Les habitants du lieu disent que cela arrive quand l’anguille de Saint Amand remue la queue. Cette merveilleuse anguille ajoutent-il vivaient du temps du saint fondateur et ne quitte jamais les souterrains ou canaux tant mondes qu’immondes du monastère. Elle est d’un certain age comme l’on voit. Aussi la prendriez-vous à la barbe qui ombrage son menton pour un provincial des capucins de Flandres. Elle a aussi sur le dos de vilains poils hérissés comme les soies d’un sanglier en furie. On lui donne 18 pieds, dix pouces, onze lignes entre tête et queue et on prétend qu’elle vivra aussi longtemps que l’abbaye subsistera. Il lui prend quelquefois la fantaisie de mettre la tête à la fenêtre, c’est à dire à la bouche d’un puits qui se trouve dans l’église basse. Elle en sortit même un jour et fut aperçue dans toute son étendue par un homme digne de foi.

…Autant dire qu’aucun homme digne de foi ne l’a revue depuis.

La céramique amandinoise au XVIIIe siècle

Au début du XVIIIe siècle, l'engouement pour les porcelaines d’extrême-orient (Chine et Japon) entraîne le développement de faïenceries dans toute l'Europe du Nord Ouest. Localement, l'instauration de lourds droits de douane sur les céramiques en provenance des Pays-Bas, provoque la création de deux manufactures, Fauquez et Desmoutiers à Saint-Amand, cité récemment rattachée au royaume de France .

En plus des motifs "chinoisants", les faïenciers amandinois reprendront des formes ou des motifs inventés par d’autres manufactures du Nord de la France ou de Tournai ou développeront leurs propres motifs. Le musée possède une magnifique fontaine en forme de Dauphin qui rappelle les céramiques de Rouen.

Le musée possède également des assiettes fabriquées en collaboration avec le peintre Watteau ainsi qu'un service à mendiant aux motifs « bianco supra bianco » qui sont caractéristiques des productions amandinoises.

Les céramiques des XIXe et XXe siècles seront placées sous le signe de l’industrialisation et de la production en série ce qui n’empêchera pas les faïenceries amandinoises de produire certaines pièces exceptionnelles comme l'urne à la mauresque du Moulin des loups, témoins du goût pour l’orient et ses arts du feu, ou ces vases bleus dit « de Sèvres » au décor d’or et de fleurs au naturel.

Dans la tourmente révolutionnaire, les œuvres les plus prestigieuses de l’abbaye bénédictine ont été dispersées et on peut en admirer les Rubens au musée des beaux-arts de Valenciennes. Restent cependant sur place quelques objets majeurs, comme une vierge à l’enfant (XVIe siècle) en albâtre de l’école de Conrad Meit, empreinte de toute la douceur maternelle de l’humanisme ou un chapiteau roman de pierre bleue qui appartenait à l’abbaye romane.

Le musée possède également une collection de dessins de l'artiste originaire d'Anzin, Lucien Jonas.

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musee@saint-amand-les-eaux.fr

La Piscine - Musée d'Art et d'Industrie André Diligent

23 rue de l'Espérance
59100
Roubaix
Art contemporain, Arts décoratifs, Beaux-arts, Histoire, Sciences et techniques, Design
Ouvert tous les jours, sauf lundi, du mardi au jeudi 11h-18h, vendredi 11h-20h. Samedi et dimanche 13h-18h. Fermé certains jours fériés, se renseigner au musée.
Collections permanentes ou expositions temporaires : 4,50 € / 3,50 € - billet groupé : 7,00 € / 4,50 € - Accès gratuit pour tous chaque premier dimanche du mois (collections permanentes) - Accès gratuit pour les étudiants chaque vendredi (collections permanentes et expositions temporaires)

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Roubaix
Bassin La Piscine. Architectes Albert Baert 1932 - Jean Paul Philippon 2001  © ADAGP, Paris 2013. Photo : A. Leprince
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Le Musée

La piscine occupe une parcelle en cœur d'îlot, un ancien jardin d'agrément, dessiné pour une famille du patronat textile.

L'architecte Albert Baert (1863-1951), a multiplié dans le plan et le décor de l'équipement des éléments symboliques qui contribuent au charme et a l'intérêt du site : réinterprétant dans un esprit néobyzantin le plan des abbayes cisterciennes, le bâtiment s'organise autour d'un jardin claustral, la roseraie.

La grande nef basilicale du bassin, éclairée de vitraux qui symbolisent le soleil levant et le soleil couchant, tient lieu de chapelle abbatiale. Les ailes de baignoires s'égrainent sur deux étages, en petites cellules qui rythment les façades sur jardin.
Le réfectoire des nageurs s'incruste dans ce dispositif où, comble du luxe, on aménage également un salon de coiffure, de manucure et de pédicure, des bains de vapeur et une laverie industrielle…

Le projet architectural

Le programme du musée est à l'avant garde d'un nouveau concept de musée tourné vers la vie économique, l'industrie textile et la mode.


Le projet de Jean-Paul Philippon tire parti de cet objet pour faire du lieu central du site, le bassin, un espace magique où subsiste un grand miroir d'eau adaptable à toutes les scénographies. Il fait dialoguer, dans un débat plein de surprises, une collection d'Arts

Appliqués et un fonds de peintures et de sculptures marqué par les partis pris décoratifs d'une modernité mal connue.

Pour atteindre le cœur du musée, l'architecte multiplie les transparences et laisse deviner chaque partie de l'équipement en ménageant une progression dans la découverte du site. On accède au musée depuis l'avenue Jean Lebas par un long mur de briques, façade de l'ancienne usine textile Hannart, discrètement travaillée en légers redents. Ce signe fort du projet et de son inscription dans l'espace public est un bâtiment très représentatif du patrimoine bâti, économique et social de la cité textile.

Jusqu'en 1940, le musée de Roubaix était installé dans le bâtiment de façade de l'Ecole d'ingénieurs textiles. Fermé au début de la seconde guerre mondiale, il n'avait jamais été rouvert au public.

Les Collections

Une exceptionnelle collection d'Arts Appliqués compte plusieurs centaines de milliers de références : dessins textiles, pièces de mobilier, tapis, céramiques de Sèvres, objets d'art et surtout un très riche fonds textile (8 000 livres d'échantillons et 50 000 pièces de tissu d'habillement et d'ameublement).

Autour d'une réunion de dessins textiles, on évoque l'importance de la création artistique dans le processus d'invention de motifs pour le tissu. Les pièces de mobilier, les tapis, les tissus d'ameublement et les objets d'art constituent la collection d'art décoratif. On y remarque tout particulièrement les céramiques de Sèvres, les créations de Picasso pour Madoura, des vitraux et l'amorce d'un fonds design notamment grâce aux importants dépôts du Fonds National d'Art Contemporain

Les relations entre le textile et la mode sont décrites grâce à une collection en cours de constitution qui fait la part belle aux créateurs contemporains et à leur intervention dans l'univers du prêt-à-porter dont Roubaix est un centre international de distribution grâce à la concentration de centrales de vente par correspondance.

Une affirmation de l'âme textile de la ville. Cette présentation tend à faire le portrait d'une cité industrielle bâtie au 19e et 20e siècles. Les firmes nées à Roubaix, les flux migratoires à l'origine de l'explosion démographique (8 000 habitants en 1800 - 125 000 en 1914), la vie associative, les figures politiques et industrielles y sont évoqués.

Un ensemble Beaux-Arts qui est exclusivement consacré aux 19e et 20e siècles a bénéficié d'importants dépôts patrimoniaux du Musée National d'Art Moderne et du Musée d'Orsay.

L'accrochage, construit dans une double logique chronologique et thématique, débute avec une Angélique de l'atelier d'Ingres et s'achève avec des créations contemporaines utilisant le textile ou son univers.

Riche en académiques du 19e siècle autour de deux figures roubaisiennes que sont Rémy Cogghe(1854-1935) et Jean Joseph Weerts (1847-1927) la collection présente un très bel ensemble orientaliste autour de Gérôme, Weerts et Ziem, un fonds symboliste où rayonne notamment l'émouvante Petite Châtelaine de Camille Claudel et une significative réunion d'art figuratif du premier tiers du 20e siècle : Bonnard, Dufy, Vuillard, Vallotton, Marquet, Kupka, Bourdelle, Gromaire, Foujita, Lempicka, Martel, Lambert-Rucky, Lhôte, Van Dongen, Schnegg, Wlérick, Pompon, Bugatti…

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lapiscine.musee@mairie-roubaix.fr

Musée de France Roger Rodière

Rue Carnot
62170
Montreuil-sur-Mer
03 21 06 10 83
03 21 06 10 83
Archéologie régionale, Beaux-arts, Histoire, Archéologie
Ouverture du 11 février au 3 décembre 2017
Tous les jours sauf le mardi
Basse saison
Février,mars, octobre et novembre
10h-12h et 14h-17h
Haute saison
Avril, mai, juin, septembre
10h-12h00 et 14h-18h
Juillet, août
10h-18h non stop
Citadelle seule : 5 €
Tarifs réduits (Groupe > 15 personnes, – 18 ans, demandeurs d’emploi, étudiants, résidents de Montreuil-sur-Mer, personnes présentant un handicap, familles nombreuses, personnes âgées de plus de 65 ans.)
Gratuit : Détenteur d’un billet du musée Opale-Sud de Berck-sur-Mer (au musée uniquement.), Enfants de moins de 12 ans, journalistes, professionnels du Tourisme, enseignants accompagnés de leur classe, membres de l’ICOM (International Council Of Museums), Amis des Musées de Montreuil-sur-Mer, Détenteur du Pass Musées. La gratuité s’applique à tous les visiteurs le 1er dimanche du mois, sauf en juillet et aout.
Pass Musées : 14€ en solo, 20€ en duo, Accès libre pendant 1 an à la Citadelle/Musée de Montreuil-sur-Mer, aux Musée d’Opale-Sud, Musée du Touquet et au Musée de la Marine d’Etaples.
Un billet unique Musée-Citadelle et musée d’Opale-Sud de Berck-sur-Mer, donnant un accès à tarif réduit au musée du Touquet et au musée de la Marine d’Etaples.

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Montreuil-sur-Mer
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Installé au sein de la citadelle de Montreuil-sur-Mer, le musée de France Roger Rodière met en lumières la richesse historique et artistique de la ville. Les collections d’art sacré illustrent notamment l’immense ferveur populaire qui sublime les nombreuses églises de la ville. Ce patrimoine sacré composé de pièces d'orfèvrerie, de sculptures, tableaux et paramentique s'échelonne du Moyen Age à nos jours. Parmi ces pièces de grande qualité, il faut mentionner la crosse de Sainte-Austreberthe du XIe siècle.
Édifiée à partir de 1567, la citadelle de Montreuil-sur-Mer emprunte les bases d'un ancien château royal dont subsiste notamment une puissante porte fortifiée par deux tours. Œuvre du roi France Philippe Auguste, le château royal est un vaste édifice polygonal du début du XIIIe siècle tourné vers l'estuaire de la Canche afin de protéger le port.

Après le sac de la ville par les troupes de Charles Quint en 1537, le roi Charles IX ordonne l'édification d'une des premières citadelles bastionnées de France. Du XVIIe au XIXe siècle, le site est régulièrement renforcé. Vers 1670, Vauban fait construire une demi lune d'entrée, la poudrière et l'arsenal. Une exposition dans les casemates de la citadelle témoigne de présence du Grand Quartier Général Britannique à Montreuil pendant la première Guerre Mondiale.


Monument historique depuis 1926, la citadelle est un concentré de sept siècles d'architecture militaire et constitue le témoin privilégié des évolutions historiques de la ville.

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contact@citadelle-montreuilsurmer.fr