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Des Collections révélées

Beaux-arts
Exposition temporaire
29 février 2024
28 février 2025
La Fère

En 2013, à l’occasion d’un premier récolement des Collections du musée, l’état de conservation médiocre et préoccupant de certains tableaux a été relevé et des campagnes annuelles de restauration ont commencé l’année suivante, à la fois sous l’impulsion de Raymond Deneuville alors Maire de La Fère, et de Martine Mathias, alors Conservatrice du musée. Les campagnes se sont succédées pendant dix ans jusqu’aujourd’hui.

Lors de ces dix ans, c’est plus de trente œuvres qui ont été confiées aux mains des restaurateurs pour assurer à la fois leur conservation pour les générations futures et rendre leur lisibilité pour que le public puisse en profiter lors de ses visites.

Cette exposition vous propose de découvrir le délicat travail des restaurateurs-conservateurs de peinture qui prennent soin des Collections du musée Jeanne d’Aboville.

A travers des panneaux explicatifs détaillant les problématiques rencontrées par les œuvres et les moyens employés pour les résoudre, vous pourrez mieux appréhender les spectaculaires avant/après des œuvres restaurées via votre smartphone !

On vous proposera également de vous glisser quelques minutes dans la peau d’un restaurateur de manière ludique pour déceler les altérations sur une oeuvre non-restaurée !

En savoir plus
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  • 5 rue du Général de Gaulle
    02800
    La Fère
    0323567191
Musée ouvert du lundi au saemdi sauf mardi de 14h à 17h30
entrée : 4€

Pour tout commentaire ou demande de renseignements, contactez directement le musée .

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Corps à corps - Combats et luttes dans le sport

Art contemporain, Beaux-arts, Histoire, Photographie, Arts graphiques
Exposition temporaire
20 mars 2024
22 septembre 2024
Senlis

À l’occasion de l’année olympique, le musée d’Art et d’Archéologie de Senlis, en partenariat avec la Fondation Francès, propose une exposition temporaire sur le thème de la représentation du corps masculin athlétique : « Corps à corps - Combats et luttes dans le sport ». D’Héraclès à Mohamed Ali, l’exposition questionne la notion de virilité et de démesure culturiste.

Intentions de l'exposition

L’année olympique commence à Senlis, ville labellisée « Terre de Jeux », avec l’exposition  « Corps à corps - Combats et luttes dans le sport » qui explore l’idéal esthétique masculin associé aux valeurs de force, de courage et d’endurance.

Dans l’Antiquité grecque, l’athlète est apprécié pour ses capacités physiques, ses aptitudes intellectuelles et sa vertu. Son corps sain et vigoureux, qui est un don des dieux, lui permet d’emporter de nombreuses victoires lors des jeux locaux glorifiant ainsi sa cité. La sculpture comme la céramique se font écho de cette valorisation du sportif. Les œuvres dessinent les corps d’hommes juvéniles musclés à la « poitrine robuste, [au] teint clair, [aux] épaules larges, [à] la langue courte, la fesse grosse et la verge petite » (Aristophane (V

e siècle av. J.-C.), Les Nuées, 423-417). Les sports de combat - la lutte, le pugilat et le pancrace - dits « sports lourds » font partie de ces concours. Sur la palestre, l’athlète, le guerrier et le héros se confondent. Héraclès est réputé être le fondateur des Jeux Olympiques et les athlètes victorieux voient s’ériger des statues à leur effigie. Pourtant, dès l’origine, des voix s’élèvent contre ces hommes hors norme.

Cette iconographie de l’athlète héroïque a traversé les siècles et n’a eu de cesse d’inspirer les artistes et philosophes depuis le XVe siècle. Si le Moyen Âge dissimule un corps honteux et objet de pulsions, les humanistes choisissent de le glorifier. La lutte et la boxe sont alors valorisées car elles mêlent la puissance, l’endurance et la vitesse à l’intelligence. Les athlètes rejouent les grands affrontements antiques. Peu à peu, les sports de combat se codifient et la pratique gymnique devient une affaire d’État après la défaite de 1870 : les dirigeants de la IIIe République prennent à cœur de renforcer le corps et le patriotisme des jeunes Français.

Les Jeux olympiques modernes, relancés en 1896 à l’initiative de Pierre de Coubertin (1863-1937), voient les athlètes poursuivre le combat bien au-delà de leur seule pratique et y inclure des enjeux politiques et sociétaux. Les médailles de Jesse Owen (1913-1980) en 1936 ou les poings levés de Tommie Smith (1944) et John Carlos (1945) en 1968 témoignent de la transposition de la lutte en dehors des rings.

Prêteurs 

 Autour de l'exposition

  • Deux visites guidées de l’exposition : 3 avril et 14 août à 15h.
  • Trois visites-ateliers pour les enfants - 10h30 pour les 4-7 ans / 14h30 pour les 8-12 ans :
    • le 24 avril : « Et toi, comment tu bouges ? »
    • le 17 juillet : « Or, argent et bronze »
    • le 24 juillet : « Force, puissance et souplesse  »
  • Trois conférences spécifiques lors des Semaines de l’art :
    • les 21 et 22 mars : « Histoire de la photographie »
    • les 18 et 19 avril : « Évolution de la tenue sportive depuis le XIXe siècle »
    • les 23 et 24 mai : « La représentation des minorités dans l’art »
  • Présentations sportives, photo shoot en tenue de sport et visites de l’exposition lors de la Nuit des musées, le samedi 18 mai à partir de 18h.
  • Visites guidées et visites libres gratuites lors des Journées européennes du patrimoine, les 21 et 22 septembre.

Renseignements et réservations (conseillées, sauf pour les événements nationaux) : 03.44.24.86.72 ou musees@ville-senlis.fr.

En savoir plus
Affiche de l'exposition Corps à corps au musée d'Art et d'Archéologie de Senlis, reprenant une gravure de la statue de l'Héraclès Farnèse
L. Cure
Du mercredi au dimanche.
De 10h à 13h et de 14h à 18h.
(Fermé le 1ᵉʳ mai)
Plein tarif : 7€ (pass musées)
Tarif réduit : 4€ (pass musées)
Gratuité : -25 ans

Pour tout commentaire ou demande de renseignements, contactez directement le musée .

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8877

“L’appel du large“ Gerard DUCHÊNE

Art contemporain
Exposition temporaire
17 février 2024
13 octobre 2024
Dunkerque

Exposition

Première rétrospective de l’œuvre du Lillois Gérard Duchêne, cette exposition coïncide avec le 10e anniversaire de sa disparition.

Le commissaire d’exposition David Ritzinger apporte un regard neuf sur l’ensemble de l’œuvre singulière de cet artiste, empreinte des questions et des réflexions de son époque. 

L’exposition met en lumière un grand nombre de pièces qui ont rarement - voire jamais - été présentées au public. 

D’abord poète, le peintre transforme le mot puis le texte en matière picturale, par des gestes de destruction et d’effacement.

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Du 17 février 2024 au 13 octobre 2024

Du mardi au vendredi de 09h00 à 18h00

Le week-end de 11h00 à 18h00

Tarif : Plein 6€ - Réduit 3€ - Gratuit sous conditions

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  • 302 avenue des Bordées
    59140
    Dunkerque
    03.28.29.56.00
    03 28 29 56 51
Du mardi au vendredi de 09h00 à 18h00

Le week-end de 11h00 à 18h00
Tarif : Plein 6€ - Réduit 3€ - Gratuit sous conditions

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8855

Nicolas Cabos, nous sommes la chair de nos rêves

Beaux-arts
Exposition temporaire
03 décembre 2023
26 mai 2024
Gravelines

Nicolas Cabos

Nous sommes la chair de nos rêves

Du 3 décembre 2023 au 26 mai 2024

Musée du Dessin et de l’Estampe originale, salle de la poudrière sous-sol

 

Les suites Les Songes et L’insouciance et l’orage évoquent le temps de la post-adolescence, entre latence et développement de soi. Nicolas Cabos construit une galerie de portraits intimes au travers d’une série d’images fragmentées qui, combinées entres elles et confrontées, marquent les moments d’une rencontre. Cette narration rend compte des contradictions, des conflits et des incertitudes de ces jeunes gens. Ces instants capturés révèlent leurs agitations intérieures ou leurs envies d’échappées entre ardeur et fragilité.

Leur sensibilité à fleur de peau est exprimée par de très gros plans sur les visages, les postures, les regards abaissés, les plissés des vêtements en torsion ou relâchés.

L’exposition est réalisée en partenariat avec le CIAC - Centre Interprétation Art et Culture de Bourbourg (équipement de la CUD) qui expose en parallèle du 1er déc. 2023 au 31 mars 2024, des sérigraphies de Nicolas Cabos, mises en regard avec des estampes du musée, sélectionnées par l’artiste.

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Tissu
Musée de Gravelines
de 14h à 17h30
Fermé le mardi
3,5 euros

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8778

Assunta Genovesio, paysages des Forts

Beaux-arts
Exposition temporaire
03 décembre 2023
26 mai 2024
Gravelines

Assunta Genovesio

Paysages des Forts

Du 03 décembre 2023 au 26 mai 2024

Musée du Dessin et de l’Estampe originale, salle du pilier

 

Selon la peintre Assunta Genovesio « c’est l’émotion que donne la lumière à un moment précis, dans un certain endroit » qui préside au choix du sujet. Attirée par le littoral, l’artiste peintre réalise une première série de monotypes autour de Gravelines en 2018. Puis, invitée en résidence au musée, elle a poursuivi cette suite en 2019 et en 2022. Les remparts et le delta de l’Aa ont particulièrement retenu son attention. A priori austère l’architecture défensive, se charge ici d’une atmosphère mystérieuse.

En bord de mer l’empreinte incertaine propre au monotype participe à l’impression de fusion des éléments du paysage, toujours mouvant.  Le ciel bas se reflète sur les eaux confondues du fleuve et de la mer du Nord. L’artiste affectionne le moment du crépuscule, entre chien et loup, qu’elle interprète par un usage audacieux de la couleur.

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Chenal de Gravelines
Musée de Gravelines
de 14h à 17h30
Fermé le mardi
3,5 euros

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